Le 28 juin dernier, coïncidant avec la célébration des premiers dix-huit mois du projet Innovation Sociale et Technologie pour une Meilleure Employabilité des Femmes Tunisiennes (INSAF-Fem), les universités européennes de Cadix, Parthénope de Naples (Italie) et Galatasaray (Turquie), ensemble avec les universités tunisiennes de Sfax, Monastir, Gabès et Kairouan, se sont rencontrées en ligne pour faire le bilan général des activités réalisées jusqu’à présent.

La rencontre a servi aussi pour répondre aux recommandations proposées par Mme Nesrine Baklouti, NEO du Bureau Erasmus + de la Tunisie, après notre réunion tenue en ligne fin avril. Ces recommandations font partie du rapport d’évaluation réalisé par le Bureau Erasmus+ de la Tunisie, dans lequel le travail accompli par le Consortium, coordonné par l’Université de Cadix, a été valorisé de manière très positive.

Le projet INSAF-Fem s’est divisé en sept lots de travail, parmi lesquels le LT1 « Diagnostic et analyse de besoins de formation » est accompli dans son ensemble. Du LT2 « Capacity Building » le Plan de Formation est accompli et le personnel enseignant européen a commencé à rédiger le contenu de chaque module à donner. Ce contenu est la base pédagogique du cours et aussi constitue chaque chapitre de formation du manuel, qui sera publié à la fin du projet et qui montrera son développement. Les activités présentielles comme les cours de formation et les stages de jobshadowing se sont décalés en attendant que la situation sanitaire s’améliore.

Les universités membres du Consortium continuent le travail des autres lots de travail: LT5 « Diffusion », LT6 « Qualité » et LT7 « Gestion ». Concernant la diffusion, en plus du Plan de Dissémination validé en octobre, l’Université de Monastir est en train de rédiger le Plan de Pérennité du projet et les universités de Gabès, Sfax et Cadix mettent la touche finale à l’enregistrement des capsules vidéo de diffusion.

Ce projet fait partie du programme Erasmus+ KA2 Capacity Building for Higher Education, cofinancé par la Commission Européenne à travers l’Agence Exécutive de l’Éducation, l’Audiovisuel et la Culture (EACEA).

Leave a Comment